Ayez ce qu’il faut pour affronter la vie.

Ayez ce qu’il faut pour affronter la vie.

Ce titre que j’ai choisi est une phrase que trouvée au début du livre de Norman Vincent Peale « La pensée positive ».

La vie n’est pas toujours rose faite de fleurs, d’arcs en ciel, de vahinés, de plages au sable fin et d’une mer transparente !
Parfois, il arrive qu’il y ait des tempêtes, des ouragans, des raz de marée, et même une simple pluie qui puisse nous contrarier, voir un peu plus !

Et comment affronter la vie dans ces cas là ?

La pensée positive.

Il y a deux manières de voir la vie. De manière positive ou de manière négative. D’ailleurs, je préfère les termes « d’optimisme » ou de « pessimisme ».

Pourquoi ?

Parce qu’être « positif », ça sous entendrait que quelque soit la situation, nous devrions sourire, voir la vie en rose. C’est vrai que ça serait idéal, mais pas très réaliste. En effet, imaginons que vous perdiez votre maman, je ne pense pas que vous alliez sourire au moment du deuil. Pourtant je trouve que c’est ce que sous entend le terme de « positif ».

Alors qu’être optimiste, c’est « prendre les choses du bon côté et avoir confiance en l’avenir ». (Internaute) Mais sans pour autant que la situation nous empêche de vivre la partie de deuil qui pourtant est importante lors d’un événement (et pas que lorsqu’il y a un décès : perte d’emploi, échec, séparation amoureuse etc, toutes ces situations sont le passage obligé (souvent) d’une phase de deuil).

Donc, deux manières de voir la vie.

Être pessimiste, c’est penser que rien ne va, il n’y a jamais de solution, on ne peut jamais arriver à rien. Et malheureusement, beaucoup de personnes sont dans cet état d’esprit. Et le pire, c’est que quand une solution arrive à leur porte, elles se disent que ce n’est que le hasard, la chance…

Être optimiste, c’est tout au contraire, penser qu’il y a toujours une solution à tout problème, et que même si la solution n’est pas la meilleure, et bien on fait avec et on essaye de prendre les circonstances le mieux possible, sans râler, sans se plaindre, en se disant « qu’après la pluie, vient le beau temps ». On essaye de trouver malgré tout la solution qui peut permettre d’attendre les jours meilleurs en souffrant le moins possible.

Ca peut paraitre naïf évidemment ce type de remarque. Je vois tellement de commentaires, d’articles (notamment sur Facebook, dans des forums etc) qui nous parlent de ce pessimisme quotidien qu’on a l’impression que c’est une norme.

Pourtant, la norme (si tenter bien sûr qu’une « normalisation » dans ce monde devrait exister 😉 ) devrait nous inciter à l’optimisme.
Ce n’est pourtant pas facile de voir le verre à moitié plein.

Comment réaliser cet exploit ?

Comment être optimisme le plus souvent ?

D’abord, c’est une vraie décision. Comme beaucoup de sujets en développement personnel, c’est vous qui êtes décisionnaire du choix que vous ferez pour évoluer (ou non).

Une décision, ce n’est jamais facile à prendre. Ca implique de casser des habitudes, de sortir de sa « zone de confort », d’avoir une certaine volonté (et même une volonté certaine), de travailler sur soi en permanence…

Et malheureusement, nous n’avons pas l’habitude de cela. Et j’ai cette impression que les générations à venir auront encore plus de mal que les précédentes (mais je généralise peut-être des cas bien particuliers proche de chez moi… soyons optimiste ! 😉 )

Comment prendre une décision ?

Une décision, elle se prend souvent dans la précipitation ou dans l’urgence : On s’est fait virer, on n’a plus d’argent et on perd notre maison, notre conjoint nous quitte, un (vrai) deuil etc.
Dans ces cas, évidemment, nous sommes obligés de prendre des décisions rapides, qui ne sont pas toujours les meilleures mais qu’on prend parce qu’on n’a pas le choix (ou on croit qu’on a pas eu le choix).

Mais elle peut aussi se prendre après un temps de réflexion, après un vrai travail sur soi, par le biais par exemple de séance de coaching, d’un bilan de compétence etc.

Pour le sujet qui nous préoccupe, cette décision va dépendre du « taux » de pessimisme que vous mettez dans votre vie habituellement. Si vous êtes continuellement en train de vous plaindre, que rien ne peut fonctionner, que vous ne trouvez pour ainsi dire aucune solution à vos problèmes, alors il vous faudra travailler beaucoup sur vous. Donc cette décision inclut la dose de courage et de volonté que vous aurez à y mettre surtout dans les premières semaines.
Le travail sur soi, c’est exactement comme une locomotive qui démarre. Celle-ci a besoin d’énormément d’énergie pour commencer à rouler, vous la voyez, elle patine, démarre lentement puis régulièrement prend de la vitesse pour ensuite prendre sa vitesse de croisière. Et là il y a moins besoin d’énergie.

Pour nous et notre évolution, c’est la même chose. Au début, il est souvent très difficile de s’y mettre. On commence et puis on abandonne et puis on recommence et on arrête. On a peu d’énergie alors qu’il en faudrait beaucoup plus pour bien démarrer.

C’est pour ça que l’idée de se faire accompagner est très bonne car nous avons une personne sur qui compter pour nous aider à passer les caps difficiles.

Mais tant qu’on a personne, que faudrait il faire ?

  1. S’assoir au calme et réfléchir à la situation.
    Vous pouvez écouter une musique douce histoire déjà d’être au maximum détendu. Prenez un papier ou un crayon (ou un traitement de texte si vous n’êtes plus habitué à écrire à la main 😉 ) et listez ce que vous avez fait dans votre vie. Ne jugez pas si c’est bien ou pas, mettez y ce que vous avez fait simplement. En terme professionnelle mais aussi en terme personnel (un bricolage, un puzzle de 5000 pièces, des emplois, une association etc).
    Prenez en compte tous vos talents : peut-être faites-vous des constructions avec des allumettes, vous êtes super fort en math, vous montez un ordinateur en un tour de main alors que vous n’y connaissez rien, vous êtes musicien etc.
  2. Ensuite, mettez une note sur 10 sur chacune de vos actions. Réfléchissez bien à cette note en prenant de la hauteur. Par exemple, si vous avez construit un meuble mais que vous n’êtes pas dans cette profession, ne le jugez pas comme si vous étiez un professionnel mais selon l’expérience que vous aviez lors de votre projet.
  3. Prenez les avis (sincères) de vos amis ou de votre famille. Demandez leur de noter ce qu’ils savent de vos projets ou de vos actions.
  4. Évaluer ces notes et vos actions. Il ne s’agit pas de vous dire : » je n’ai que la moyenne, je suis nul ». La note en question n’est pas faite pour vous juger, elle est faite pour vous rendre compte que finalement, vous êtes capable de faire beaucoup plus de chose que vous le pensez. Mais encore une fois, vous devez vous évaluer en fonction de votre savoir ou de vos compétences ! Ne vous dites pas : « je suis nul, je n’arrive pas à créer un programme en langage informatique » alors que vous n’avez pas les compétences pour ça. Or, ce type de compétence s’apprend ! Et si du coup, vous avez réussi vaguement quelque chose de ce type mais que ça ne fonctionne pas comme il faudrait alors que vous n’aviez pour ainsi dire jamais appris, c’est que qu’en fait vous avez de belles qualités puisque déjà vous en êtes arrivé là !

Soyez optimiste !

Si vous avez été jusqu’au bout de ce petit programme (qui peut prendre quelques jours), alors déjà c’est que vous êtes bons !

Prenez du temps pour réfléchir à vos actions passées. Vous êtes capable ! Vous avez réussi à créer, à faire !
Ce petit test doit vous inciter à réfléchir sur vous même. Être optimiste, c’est voir le verre à moitié plein ! Et dans ce cas là, le verre à moitié plein, c’est ce que vous êtes déjà capable de faire !
Pour ce que vous n’êtes pas capable encore de faire, vous aurez besoin de réfléchir à ce que vous aimez réellement faire dans la vie et vous former la dedans.
Et plus vous arriverez à réfléchir au « verre à moitié plein » dans toutes les parties de votre vie (professionnelle, personnelle, relationnelle etc) et plus vous arriverez à être optimiste. Et plus on est optimiste, et plus on arrive à faire de choses dans la vie…. C.Q.F.D.

Jobsora

Dominique DUDON

Je suis un passionné de... beaucoup de choses : les nouvelles technologies, internet, les sciences, la nature, la musique... Mais par dessus tout, je suis passionné par l'HUMAIN ! Je pense que nous sommes tous capables de faire de grandes choses. Nous sommes capables d'aller au-delà des apparences. Je m'efforce dans la vie de trouver chez les autres une occasion de leur dire combien ils sont bons, ils sont beaux. Et l'ambition de ce blog, c'est de vous dire que malgré les apparences, vous pouvez "changer de vie". Laissez moi vous accompagner sur ce chemin ! ;-)

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Il n’y aucun jugement, c’est un constat basé sur l’expérience.
Nous n’avons donc pas appris à utiliser nos capacités et donc, nous croyons souvent ne pas en avoir.
Je suis là pour vous amener à prendre conscience de vos possibilités et vous aider à les mettre en œuvre.

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